Le texte qui va suivre parle de notre voyage d’OS à Toulouse.
par David Vilar-Sequeira par
L’article que je vais écrire parlera des activités que nous avons pratiqué à Toulouse et ce que j’en ai pensé.
Dimanche 25 avril 2010
Le rendez-vous à l’aéroport était à 11h, plus de temps qu’il n’en fallait pour prendre l’avion mais les maîtres ont voulu bien prévoir le coup ! A 13h40 nous étions arrivé à Toulouse, cependant l’attente avant d’arriver à l’hôtel a été longue… Nous avons du patienter un peu plus d’une heure à l’aéroport, les guichets de vente de billets de transport n’avaient pas encore ouvert. Une fois les billets en notre possession, nous avons pu nous rendre à la gare Matabiau qui se trouve à quelques minutes de l’hôtel où nous allions dormir : l’Hôtel des Ambassadeurs. Pour cette première journée, nous avons visité un festival où les jeux étaient au rendez-vous ! Nous y sommes resté plus ou moins une heure et sommes rentré à l’hôtel. Pour le diner et le soir, les maîtres nous ont laissé carte blanche. Nous nous sommes séparés en deux ou trois groupes. Chaque groupe est parti de son côté. Mes compagnons et moi sommes allé mangé dans un fast food puis avons visité la ville. Aux alentours de minuit, nous avons aperçu un groupe de trois filles Toulousaines qui avaient l’air d’avoir beaucoup bu. Plus particulièrement l’une d’entre elle qui avait l’air très mal au point, Michael et moi sommes donc aller l’aider, et l’avons raccompagné jusqu’à chez elle. Ce fût fatigant parce qu’elle ne faisait aucun effort, mais en tant que bons Saints-Maritain, nous n’avons pu l’abandonner à son triste sort. Nous sommes rentré à l’hôtel vers 1h30 et avons vu les enseignants qui étaient assis dans le café à côté de ce dernier. Nous leur avons expliqué ce qui nous était arrivé et sommes allé nous coucher.
Lundi 26 avril 2010
Le réveil a été rude, nous avons peu dormi. Mais si nous nous sommes levé tôt ce n’est pas pour rien, c’est parce qu’il était prévu que nous allions à la Cité de l’Espace ce jour là. J’ai adoré la visité, une grande exposition très interactive où toute personne un peu curieuse ne peut s’ennuyer. Ce qu’il y était montré était fort intéressant, nous y sommes resté toute la journée, mais il aurait fallu au moins 3 jours pour la visiter complètement. Il y avait 3 étages d’expositions entre autre sur la découverte de l’espace, les préparations aux voyages spatiaux, etc. Puis dans un autre bâtiment se trouvaient : une salle de cinéma 3D et un planétarium. Le film en 3D avait pour sujet « Hubble » un énorme télescope spatial qui nous permet d’observer notre univers à des distances inimaginables. Dans le planétarium on a pu voir ce qui se trouvait tout autour de notre terre, un « guide » nous a accompagné tout au long de notre voyage intersidéral. Cette journée à la Cité de l’Espace a été très sympa. Ça a été l’activité organisé que j’ai le plus apprécié. Je crois que ça a été ce jour là que je suis tombé malade, mais rien d’alarmant. A la fin de cette journée, nous sommes rentrés à l’hôtel, puis avons été libéré pour manger dehors, rien de spécial à signaler lors de la soirée !
Mardi 27 avril 2010
Ce matin là il n’y avait rien de prévu, nous avons donc pu nous lever à l’heure que nous voulions. Réveil douloureux, mon mal de gorge avait empiré. En début d’après-midi nous avons visité Toulouse tous ensemble, mais le manque de motivation des élèves a fait que nous l’avons interrompue plus tôt que prévu et par conséquent avons eu le reste de la journée de libre. Ce soir là je ne suis pas sorti, je suis resté à l’hôtel, j’étais bien trop malade pour faire quoi que ce soit !
Mercredi 28 avril 2010
Le matin nous avons participé à un cours de consolidation à l’hôtel, présenté par nos enseignants. J’étais encore bien malade et n’ai pas pu beaucoup aider mon groupe. Cette après-midi toute la classe s’est rendue à Airbus, mais je n’en ai pas eu l’occasion. Je ne me sentais pas suffisamment bien pour m’y rendre et suis donc rester à l’hôtel pour me reposer. J’ai dormi jusqu’à leur arrivé, c’est-à-dire jusqu’à 18h30 à peux près. Après ce petit somme je me sentais en bien meilleur forme ! J’ai pu donc sortir avec mes camarades ce soir là. Nous sommes rentré assez tard cette nuit là, mais c’était la dernière nuit passé à Toulouse, il fallait bien en profiter n’est-ce pas ?
Jeudi 29 avril 2010
Dernier jour à Toulouse, nous avons du nous réveiller assez tôt pour préparer nos valises. J’étais assez content de rentrer à Genève parce que j’étais malade, mais j’aurais bien voulu y rester encore quelques jours si j’avais été en meilleur forme ! Nous avons mangé à l’aéroport, et avons profité des derniers moments que nous allions passé à Toulouse tous ensemble.
Conclusion
J’ai beaucoup apprécié ce voyage ! En ce qui concerne nos visites, ce que j’ai préféré reste la Cité de l’Espace. Et en ce qui concerne notre temps libre j’ai particulièrement la nuit de mercredi à jeudi. Mais j’ai aussi aimé ce voyage parce qu’il nous a permis de nous rapprocher et de mieux connaître certains élèves de Bouvier que je connaissais pas, les troisièmes qui sont venus avec nous. Pour dire que je trouve que ce voyage a été une réussite, les enseignants qui étaient là avec nous ont été très sympathiques. J’ai failli oublier… j’ai adoré les petits déjeuners à l’hôtel !
par Eva Crisafulli par
aller à l’article Toulouse, relation de voyage
Toulouse
La ville rose
Pleines de découvertes, Toulouse s’offre à nous : je vais parler d’abord de la Garonne, ses canaux et ses ponts, puis j’enchainerais avec le Festival du jeu de Toulouse, ensuite je vais proposer un petit tour au cirque de Toulouse (histoire de peut-être visiter le chapiteau) et enfin je ferais un petit clin d’œil au collège de Claude Nougaro !
* Nous passerons certainement sur, ou le long de, la Garonne. Elle a une longueur de 647 km, son bassin est de 55’000 km2, son débit moyen est de 631 m3/s. Elle prend sa source au flanc du pic d’Aneto dans les Pyrénées en Espagne à 3’404 m d’altitude. Elle a son embouchure dans l’Océan Atlantique. Elle traverse l’Espagne et la France. Les villes principales sont Toulouse, Agen et Bordeaux
* Sur Wikipédias, on peut voir de belles photos de la Garonne. De plus, ce site nous explique bien l’origine de ce fleuve, ainsi que sa géographie :
"Origine
La Garonne (Garona en espagnol) est un fleuve français. La Garonne a donné son nom aux départements français de Haute-Garonne, de Lot-et-Garonne et de Tarn-et-Garonne. La Garonne s’appelle en occitan et en gascon la/era Garona /eɾa garunɵ/, un nom commun signifiant la rivière. On l’écrivait Garumna du temps de Jules César, un nom composé du radical pré-indoeuropéen garr- (pierre ou rocher) et du suffixe -unn / -onna et dont la signification serait rivière caillouteuse, torrent.
Géographie
La Garonne se forme au Val d’Aran dans les Pyrénées espagnoles. D’après Norbert Casteret, sa source principale se trouve dans le massif de la Maladeta, en Aragon, où elle s’engouffre au Trou du Toro pour rejoindre sa vallée par une résurgence aux Uelhs de Joeu. Pour les Aranais, la véritable source, l’Uelh dera Garona, se situe au Plã de Béret à proximité du port de la Bonaigua. Cette branche est en effet plus longue que le cours officiel et son débit plus important. Mais la définition d’un fleuve étant déterminée par l’altitude de la source la plus élevée d’un de ses affluents, c’est bien ce modeste ruisseau qui a droit à l’appellation de Garonne.
Le fleuve se dirige au nord, rentre en France au Pont du Roy à Fos, reçoit la Pique descendue des massifs de Luchon. Il quitte les Pyrénées après avoir arrosé le site antique de Saint-Bertrand-de-Comminges, puis il reçoit la Neste, change de direction pour se diriger vers le nord-est en une large vallée (plaine de Rivière), il arrose Saint-Gaudens franchit les Petites Pyrénées entre Saint-Martory et Martres-Tolosane, reçoit le Salat descendu de Saint-Girons.
La longueur de son cours d’eau, en France, est alors de 522,6 km[1]. La vallée très large s’étage en terrasses sur la rive gauche.
Le fleuve traverse Muret, reçoit l’Ariège à Portet sur Garonne pour atteindre Toulouse où il change de direction en se dirigeant au nord-ouest pour se jeter dans l’Atlantique à son embouchure en commun avec la Dordogne où les deux fleuves forment l’estuaire de la Gironde.
Entre Toulouse et Bordeaux le fleuve traverse Agen et reçoit ses principaux affluents sur la rive droite, le Tarn et le Lot issus du système hydrologique du Massif central. Le fleuve est navigable de l’océan à Langon.
Un canal latéral a été construit au XIXe siècle pour joindre Langon (Castets-en-Dorthe) à Toulouse (liaison avec le Canal du Midi de Toulouse à Sète).
Des Pyrénées à Toulouse le fleuve est aménagé pour l’industrie hydroélectrique.
Plus récemment deux centrales nucléaires sont implantées sur les rives : * Centrale nucléaire du Blayais * Centrale nucléaire de Golfech A Bordeaux le fleuve est très large et sous l’influence des marées. À marée montante se forme un mascaret qui remonte le fleuve.
La rive droite de Toulouse se trouve sur une terrasse insubmersible sur laquelle la ville romaine s’est établie. C’est aussi sur cette terrasse que la ville marchande et commerciale de Toulouse s’est formée.
De l’autre côté de la Garonne, se trouve la rive gauche avec l’ancien faubourg Saint-Cyprien, longtemps quartier pauvre car construit en dehors des remparts de la ville et en zone inondable : situé en contrebas de quelques mètres par rapport à la rive droite, le quartier Saint-Cyprien a souvent été soumis à de fortes inondations. Ainsi en 1875, le quartier Saint-Cyprien fut submergé par les eaux de la Garonne et plusieurs ponts furent emportés[16]. Cette situation basse explique l’évolution de la courbe du fleuve au fil des siècles du côté de la rive gauche, entre la rivière Touch qui se jette au nord de Purpan et l’actuelle chaussée du Bazacle.
Le canal du Midi, œuvre de Pierre-Paul Riquet, qui reprend une courbe artificielle de la Garonne vers la Méditerranée, remonte au sud-est la vallée de l’Hers mort et traverse la rive droite de la ville.
La commune de Toulouse a une superficie de 11 830 hectares, soit environ 1 300 hectares de plus que Paris et 7 000 de plus que Lyon, mais 13 000 de moins que Marseille."
* Un site touristique bien sympathique nous apprend encore quelques tours sur La Garenne de Toulouse et quelques précisions sur le Canal du Midi et le Canal de Brienne :
"Toulouse est fille de la Garonne.
Amoureuse de son fleuve, elle a pris le parti d’en protéger les quais et les abords. Il a fallu du temps pour bâtir ou rebâtir ponts et chaussées afin que s’élabore la radieuse vision des quais que l’on connaît aujourd’hui.
Les quais sont inscrits aux Sites protégés depuis 1943. Les berges ont été aménagées en promenade et sont devenues un lieu d’animations pour des festivals comme « Rio Loco » ou sont transformées en plage pendant les mois d’été.
Le Canal du Midi
Depuis longtemps, le besoin de relier la Mer Méditerranéeà l’Océan Atlantique se faisait sentir. Pierre-Paul Riquet, né à Béziers vers 1609, réfléchit au projet et trouve à partir de 1662 la solution : creuser un canal de jonction des deux mers de l’étang de Thau (près de Sète) jusqu’à la Garonne, au niveau de Toulouse.
L’idée est ingénieuse, sa réalisation est difficile. Riquet va mettre en place un système complexe d’alimentation et réalisera des travaux titanesques pour assurer la navigation. Son œuvre sera inaugurée en 1681 et facilitera désormais le transport des marchandises tout en impulsant un certain développement économique de la région.
L’UNESCO inscrira en 1996 le Canal du Midi au patrimoine mondial de l’Humanité pour témoigner de la grandeur de l’œuvre et pour honorer tous les ouvrages d’art réalisés le long de ce canal.
Le Bassin de l’Embouchure est le point de ralliement de l’ensemble des trois canaux toulousains : le Canal du Midi, le Canal de Brienne, le Canal Latéral. Les Ponts-Jumeaux permettent de laisser entrer les eaux des canaux dans ce bassin. Un célèbre bas-relief en marbre représente la jonction des eaux avec d’un côté une évocation de l’Occitanie et de l’autre une allégorie de la Garonne.
Canal de Brienne
Bâti entre 1770 et 1776 par le cardinal Loménie de Brienne, il permet au Canal du Midi de rejoindre la Garonne.
Canal latéral à la Garonne
Avant sa construction entre 1838 et 1856, on naviguait de la Méditerranée jusqu’à Toulouse par le Canal du Midi, puis on rejoignait la Garonne pour gagner Bordeaux. Le fleuve étant difficilement navigable, il fallut très tôt prolonger le Canal du Midi. Grâce à sa construction, le « Canal des deux mers » était né."
* Nous pourrions passer sur le Pont-Neuf, voir la carte
* Rien à voir avec la Garonne, mais sachant que nous arriverons à l’aéroport de Toulouse vers 13h40, nous pourrions aller nous jeter, dès notre arrivée, au 9ème festival du jeu de Toulouse, au Hall 8 du parc des expositions de Toulouse. dimanche 25 avril 2010 de 11h à 19h l’entrée du festival étant libre et gratuite.
On peut trouver sur le site du Festival un Plan général ainsi que l’Emplacement du Hall 8.
"Le festival Alchimie du Jeu Au pays de la brique rose, du cassoulet et des violettes, s’organise chaque année le Festival du jeu de Toulouse. On y découvre une multitude de jeux de société : jeux de plateaux, jeux de cartes, jeux de figurines, jeux traditionnels, jeux surdimensionnés, etc. On joue librement et gratuitement, des animateurs sont bien évidemment présents. Dans la salle, il y a un espace pour les plus petits, des collations pour se restaurer, et des boutiques spécialisées. Tout au long du festival, il y a de nombreuses animations telles que des tournois, des tombolas, et des quizz, où l’on peut remporter quelques jeux à la maison.
On nous propose de découvrir entre joueurs passionnés et auteurs de jeux, les dernières créations, et de partager un moment de détente et de découverte dans une ambiance chaleureuse et ludique.
Pour une vue plus complète et plus détaillée de l’évènement, aller voir les reportages photo des précédentes éditions du festival sur la page Historique du site
Pour y aller en autobus
La ligne 31
– Depuis la station des Arènes, en correspondance avec le Métro
– Itinéraire : Boulevard Gabriel Koenigs, Pont Pierre de Coubertin,
– Arrêts de montée ou de descente à proximité du parc : Pont Saint Michel.
Les lignes 12 et 52
– Depuis le terminus du Cours Dillon et Esquirol
– Itinéraire : Rue de Metz, Rue du Languedoc, Allée Paul Feuga et Pont Saint Michel
– Arrêts de montée ou de descente à proximité du parc : Pont Saint Michel.
La ligne 1 (circuit extérieur)
– Depuis Saint Cyprien, en correspondance avec le Métro.
– Itinéraire : Allées Charles de Fitte, et Pont Saint Michel
– Arrêts de montée ou de descente à proximité du parc : Pont Saint Michel.
La ligne 38
– Depuis Empalot ou Amouroux
– Arrêts de montée ou de descente à proximité du parc : Pont Saint Michel.
Les lignes 2, 53, 54, 56 et 62
– Depuis le terminus du Cours Dillon et Esquirol
– Itinéraire : Rue de Metz, Rue du Languedoc, Grande Rue Saint Michel, Saint Michel
– Arrêts de montée ou de descente à proximité du parc : Saint-Michel–Parlement.
Pour y aller en métro
– Descendre à la station Arènes et prendre Ligne 31 et descendre au Parc des Expositions.
– Descendre à la station Esquirol, prendre les lignes 2, 12, 52, 53, 54, 56 ou 62 côté magasin Midica
– Descendre à l’arrêt Saint Michel Parlement.
– Descendre à la station Saint Cyprien, prendre Ligne 1 (circuit extérieur) en direction du Fer à Cheval et descendre à l’arrêt Pont Saint Michel
Pour toute information sur le Festival du jeu, par téléphone, appeler Audrey au 05.61.63.93.11 ou 06.18.61.58.91 , par email, écrire à Alain et Yannick"
* Nous pourrions aussi voir s’il est possible de jeter un coup d’œil dans le chapiteau du cirque de Toulouse : Le Lido , voir la carte
Le Lido - Centre des Arts du Cirque
14, rue de Gaillac (adresse postale)
31500 Toulouse
http://www.lido.toulouse.fr/
* Nous aurons peut-être aussi le temps de passer devant le Collège Claude Nougaro, 10 Rue du Caillou Gris, 31200 Toulouse, France. Voir carte
Pour plus d’infos sur Claude Nougaro voir le lien sur wikipédias !
aller à l’article Toulouse, relation de voyage