Un petit résumé de notre séjour à Toulouse au jour par jour
par Robinson Reverdin par
Pour commencer, nous avons tous du préparer une petite visite sympathique et enrichissante que l’on a du présenter à tout le reste de la classe. Seulement quelques propositions seraient retenues pour les journées de dimanche et de mardi. je me suis attelé à la présentation de la cathédrale St-Etienne qui se situe au centre-ville. Voici les recherches que j’avais entretenue :
Cathédrale Saint-Étienne
Place Saint-Etienne - 31000 TOULOUSE
Situation : Centre
La cathédrale Saint-Étienne de Toulouse est la cathédrale de Toulouse qui est située près du Grand-Rond. On ne connaît pas les origines de la cathédrale. Ses premières traces datent de 1071, quand l’évêque Isarn décida de reconstruire l’édifice, alors en ruine.
Son architecture est particulière car elle est composée d’éléments architecturaux de diverses époques, du XIIIe au XVIIe, au cours desquels les conceptions architecturales ont subi d’importantes transformations. Jusqu’au XIIIe siècle, les plans de l’église romane furent sans cesse modifiés. Ainsi, une révision de la hauteur prévue de l’édifice est visible par la coupe des fenêtres sur le mur sud, tandis que le mur nord, construit plus tard, ne présente pas cette anomalie. On reconnaîtra sur le mur occidental une rosace, directement inspirée de celle Notre-Dame de Paris. on pourrait la surnommer la « cathédrale inachevée ».
La cathédrale renferme des éléments ornementaux intéressants : vitraux qui sont les derniers de Toulouse à être d’origine, tapisseries, tableaux, une grande rosace, un grand orgue magnifique suspendu à 17 mètres de haut, et 17 chapelles. Elle possède aussi un orgue.
Comme toutes les cathédrales, St. Étienne est le « siège » de l’évêque du lieu (à Toulouse, c’est un archevêque). Elle est aussi une paroisse vivante, qui rassemble entre 200 et 500 paroissiens chaque dimanche, et environ 2 000 chrétiens du diocèse pour les grandes célébrations (ordinations, accueil de l’évêque…).
La cathédrale jouxte l’ancien palais épiscopal, aujourd’hui, occupé par la préfecture.
Ouverture
Tous les jours de 8h00 à 19h00,
le dimanche de 9h00 à 19h00.
Entrée
Gratuite.
Voici maintenant les activités que l’on a faites durant ce séjour, détaillées au jour par jour.
Dimanche
Nous sommes partis de Genève avec le vol d’Easy Jet à 12h30 pour un voyage d’environ une heure. Arrivé à Toulouse, nous sommes allés déposer nos bagages dans notre hôtel, près de la gare, qui était très sympathique et accueillant. Après cela, nous sommes partis pour le festival du jeu où nous avions prévu de passer le reste de la journée.
Cet événement se déroulait près du stade de Toulouse dans un énorme entrepôt. Il y avais des centaines de jeux de société, de rôle, d’adresse ainsi que des jeux en plein air. C’était une activité très sympa et nous nous sommes bien amusé. Avec deux amis de la classe, nous avons participé à un combat d’épée (en mousse dure) et nous sommes arrivés à vaincre les organisateurs !
Le soir, nous étions libre de manger où l’on voulait et nous pouvions sortir un peu pour profiter de la vie nocturne de Toulouse.
Lundi
Nous nous sommes réveillés tôt pour prendre le métro pour nous rendre à la cité de l’espace. C’était un grand bâtiment sur plusieurs étages avec un énorme jardin rempli de reproductions de fusée et d’engins spatiaux. Nous étions libre pour faire la visite qui se déroulait sur 3 étages. Il y avais énormément de choses intéressantes et c’était bourré d’animations, et d’engins interactifs pour une meilleure compréhension des sujets exposés. L’après-midi, nous avons vu un film en 3D sur le télescope Hubble et la station ISS. Le film était magnifique et les images étaient époustouflantes ! On voyait très nettement les galaxies, les étoiles et les planètes et le fait que cela était en trois dimension, l’effet était très prenant ! Après cela, nous avons suivi un petit voyage spatial dans le planétarium, moins impressionnant, mais très instructif.
Le soir, nous avons décidé de manger tous ensemble au restaurant pour goûter aux spécialités toulousaines. Le cassoulet et le confit de canard en sont les principales spécialités. Le confit était très bon même si le canard n’est pas un de mes plats préférés.
Mardi
Nous n’avions pas de visites ni d’activités prévues à part prendre du temps pour visiter les monuments et endroits incontournables de Toulouse. Nous avons donc fait un tour au Capitole. C’est un bâtiment imposant faisant face à une grande place et à de nombreux cafés et boutiques. D’énormes fresques sont peintes sur les murs des grands salles et des couloirs, la plupart représentant Toulouse à des époque différentes. Le Capitole est désormais la mairie de Toulouse. Nous voulions aller essayer le fameux trottoir lumineux qui s’allume sous nos pas, mais malheureusement, il a été démonté.
Nous sommes ensuite passés au couvent des Jacobins au centre de la ville et pas loin du Capitole. Après la visite du couvent, nous avons eu un peu de temps pour faire du shopping car les petites rues avoisinantes sont remplies de magasins d’habits, de chaussures, etc.
Comme tout les autres soirs du séjour, nous avions un peu de temps à dépenser pour nous amuser et mardi soir ne fait pas exception.
Mercredi
Voilà notre dernier jour entier de voyage qui s’annonçait prometteur car nous allions visiter les entrepôts d’Airbus ! Après quelques difficultés et un long voyage, nous sommes arrivés la-bas en début d’après-midi. Les entrepôts étaient gigantesques et on se sentait vraiment petit à côté ! Après les contrôles de sécurités, nous avons embarqués dans un car qui nous a amenés vers le Concorde No.1. C’est-à-dire, le premier a avoir volé ! C’était très impressionnant de se retrouver dans un des avions les plus célèbres du monde et qui, en plus, a marqué son époque ! Nous pouvions poser toute les questions que l’on voulait à notre guide pour mieux comprendre l’ampleur de l’avancement technologique que représentait cet avion.
Ensuite nous avons repris le car pour aller voir le plus impressionnant, les Airbus A380 ! Ce sont d’énormes avions de 80 mètres d’envergure, 30 mètres de haut et 60 mètres de longueur ! Ils sont tellement grands que seulement quatre d’entre eux suffisent à remplir le plus grand de des entrepôts mis à disposition. Nous n’avons pas pu rentrer dans un vrai, mais seulement dans un tronçon destiné à l’exposition. j’ai appris pas mal de choses très intéressantes lors de cette journée mais malheureusement, nous n’avons pas pu prendre de photo car c’était interdit par la sécurité...
Jeudi
Et voilà le dernier jour ! Rien de spécial de prévu, pas de visites, pas d’activités et très peu de temps libre. Nous nous sommes juste préparer pour rentrer à Genève avec le vol de 13h30.
Pendant ce séjour à Toulouse, nous avons appris beaucoup de choses intéressantes et surtout en rapport avec ce que nous faisons en classe de physique. On se retrouve souvent comme des enfants lorsque l’on nous parle de fusées, de planètes lointaines et d’avions gigantesques et c’est se qui a fait de ce voyage, un séjour très particulier ! De plus, il y a eu une très bonne entente entre les 3ème et les 2ème, ce qui est une des sources de la réussite du voyage ! En plus de cela, nous avons eu du beau temps toute la semaine au point où l’on pouvait se balader la nuit en T-shirt sans problèmes. Pour conclure, je pense que ce voyage était très réussi car je me suis bien amusé, j’ai appris pleins de choses et j’ai même pu bronzer un peu ! Voilà.
Construire un modèle permettant de simuler le mouvement vertical d’un parachutiste soumis à son poids et à une force de frottement due à l’air.
Les mouvements de chute verticale à la surface de la Terre envisagés au niveau secondaire ne tiennent en général pas compte du frottement de l’air en raison de la complication mathématique qu’il introduit : la force de frottement dépend de la vitesse et la vitesse évolue selon la valeur de la force de frottement ! Il faut donc résoudre une équation différentielle pour décrire ces mouvements. STELLA est parfaitement adapté pour trouver des solutions numériques à ce type de questions.
Description
Un parachutiste effectue un saut « libre » vertical. Au cours de sa descente, il est soumis à deux forces : son poids dirigé vers le bas, et une force de frottement, due à l’air, dirigée vers le haut. Son accélération est égale, selon la loi fondamentale de la dynamique, à la somme des forces qu’il subit divisée par sa masse.
Questions
– Construisez un modèle STELLA permettant de simuler le mouvement du parachutiste.
– Établissez le graphique donnant la position, la vitesse et l’accélération du parachutiste en fonction du temps en supposant que la force de frottement qu’il subit est proportionnelle au carré de sa vitesse et en utilisant les valeurs suivantes : masse du parachutiste : m=80 kg, accélération terrestre : g=9.81 $m/s^2$, coefficient de proportionnalité entre la force de frottement et le carré de la vitesse : $\mu$=0.35 kg/m.
– Exprimez la force de frottement en fonction de la masse volumique rho de l’air, de la section apparente S, du coefficient de forme C et de la vitesse v du parachutiste.
– Quelle vitesse maximale, en km/h, le parachutiste atteint-il ?