Déplacement à Toulouse en avion. Visite de la Cité de l’Espace et des halles de montage de l’airbus A380. Bilan.
Journées hors-cadre du 25 au 29 avril 2010
Déplacement à Toulouse en avion. Visite de la Cité de l’Espace et des halles de montage de l’airbus A380. Les élèves ont rédigé des propositions de visites culturelles avant le voyage. Ils ont relaté leur semaine hors-cadre au retour. Ce travail a fait l’objet d’une évaluation et la note obtenue comptera dans une des disciplines de l’option spécifique « physique, applications des mathématiques ».
Programme officiel
Dimanche 25 avril
– Départ de Cointrin 12h25. Tout le monde était présent. Le vol s’est bien déroulé !
– Arrivée à Toulouse 13h40. Nous avons acquis les cartes de bus (140 €) [1]
– Achat des cartes « tribu » à la gare Matabiau (50.40 €)

Hôtel
Nous sommes descendus à l’hôtel des Ambassadeurs. Accueil chaleureux. Nous payons le solde 442.40 €. Nous distribuons 40 € à chaque élève pour les repas.
Lundi 26 avril
– Visite de la Cité de l’Espace
-
- 09h30 - 11h30 visite libre. De la Terre à l’espace. Communiquer à distance. Observer la Terre. Pôle météo. Vivre dans l’espace. Explorer l’Univers.
- 11h30 - 12h30 déjeuner au restaurant
- 14h00 Imax (film en 3D sur la station spatiale ISS)
- 15h30 Planétarium : des planètes aux galaxies
Mardi 27 avril
– visite de Toulouse. Place du Capitole. Salle des Illustres et salle des mariages. Couvent des Jacobins. Pont Neuf. Cour intérieure de l’Hôtel Assezat. Place Esquirol
Mercredi 28 avril
– Atelier. 4 problèmes à examiner :
-
- poussée de l’Airbus A319
- poussée de la fusée Saturne V
- période d’un satellite en orbite basse
- vitesse d’un satellite géostationnaire
– Visite des halles de montage de l’airbus A380. Bus 70 jusqu’à Georges Brassens, puis 20 minutes de marche.
-
- 13h30 Mach 2
- 15h00 Airbus A380
Jeudi 29 avril
– Matinée libre, sauf pour les élèves qui n’ont pas participé à l’atelier mercredi matin : ils passent un test noté (en ligne sur Moodle) sur les notions révisées dans l’atelier du mercredi matin.
– Retour à Genève à 15h20 comme prévu.
Modèle de propagation d’une maladie conférant l’immunité à celui qui en guérit.
"HTMLFiles/xhtml-math11-f.dtd">
< !—>
Une épidémie est l’apparition brusque et à large échelle d’une maladie. Les épidémies humaines sont souvent propagées par contact avec des personnes infectées. Certains « vecteurs » tels que les moustiques, les rats et plus récemment la volaille, peuvent aussi être impliqués dans la transmission de la maladie. La variole, la poliomyélite, la rougeole, la rubéole, la grippe aviaire sont des maladies contagieuses qui se propagent par contact fortuit avec une personne infectée. La blennorragie en revanche se contracte lors de contacts plus intimes. Une autre différence importante entre la blennorragie et les maladies du premier groupe réside dans le fait que la blennorragie ne confère aucune immunité à celui qui en guérit, tandis que si vous avez eu la rubéole, vous ne pouvez plus la contracter. Cette particularité rend la prévention par vaccination possible pour ces maladies. Vous allez construire un modèle de propagation d’une maladie au sein d’une population. Pour construire ce modèle vous simplifierez et négligerez un certain nombre de choses : vous n’inclurez pas les contacts exacts entre les personnes, ni leurs déplacements, ni d’autres facteurs dont vous supposerez l’effet négligeable, car vous ne seriez plus en mesure de calculer et de faire des prédictions avec un modèle aussi compliqué. En identifiant l’essentiel, vous pourrez néanmoins formuler un modèle simple capable de prédire la propagation d’une maladie au sein d’une population. Mais ce modèle ne permettra pas de répondre à des questions spécifiques du genre : telle personne attrapera-t-elle la grippe et quand l’attrapera-t-elle ?
Indications
• Vous envisagerez trois catégories au sein d’une population :
- les personnes susceptibles de contracter la maladie ;
- les personnes infectées ;
- les personnes guéries et/ou immunisées.
• Vous ferez l’hypothèse d’une population constante : la somme n des effectifs des trois catégories ne change pas au cours du temps.
• Vous admettrez que le nombre quotidien d’immunisations est proportionnel au nombre de personnes infectées.
• Vous poserez que le nombre d’infections quotidiennes dépend du nombre de contacts quotidiens qu’une personne infectée peut avoir avec une personne susceptible